Pour lui, sa position est "profondément pragmatique" : "rappeler nos convictions et trouver le bon chemin (...) vers mieux d'Europe" et une Europe "plus démocratique". "Ce traité, on ne l'aime pas mais c'est la base", a-t-il indiqué peu après avant d'ajouter : "J'entends les non, la colère des peuples, mais demain on fait quoi ?"
The EELV, for its part, has sought to distinguish its "no" to TSCG from Jean-Luc Mélenchon's.
Un "non" que les ténors d'EELV ont pris soin de dissocier de celui de Jean-Luc Mélenchon. A l'instar d'Eva Joly qui, après avoir appelé à "un refus fondateur", a redit qu'elle n'irait pas manifester le 30 septembre aux côtés du Front de gauche. "Il faut refuser de laisser instrumentaliser l'Europe dans la constitution d'un front du non", a lancé l'ancienne candidate à la présidentielle à la tribune.
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